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La télévision musicale est en phase de devenir une source incontestable de revenus et internet la transporte. Rapport d'activité 2010 par Music Ally.

OWNImusic était au MIDEM 2011 et vous a rapporté des témoignages qui seront diffusés dans les semaines qui viennent. Gilles Babinet ouvre le bal et inaugure cette série d'interviews.

Voici l'observation de nos homologues d'outre-Atlantique Music Ally sur l'attitude de Google par rapport à la musique en 2010. Affaire à suivre...mais voici déjà un bon résumé de la situation.

Quand Hypemachine publie son classement Zeitgeist 2010, on se rend compte du décalage qu'il existe entre les charts classiques des ventes et ce qui est réellement écouté sur le web...

Un dancefloor techno, c'est l'explosion des sens, c'est prophylactique, ça devrait même être prescrit sur ordonnance, c'est un vaccin contre bien des maux de notre civilisation... A condition qu'on laisse les DJ mixer. Ce qui devient rare.

Alors que les majors semblent occuper le devant de la scène dans les multiples mutations que connait actuellement l'industrie de la musique, Rémi Bouton s'interroge sur la place des indépendants

Dans le contexte de la crise du disque, les catalogues demeurent une valeur sûre. Certains fonds d'investissement ne s'y trompent pas en y prenant des parts non négligeables. Au détriment de la musique ?

Deux des quatre majors ont décidé de mettre en place une stratégie de mise en vente des mp3 conforme aux usages d’internet, qui risque de changer bien des choses. La première à en avoir profité ? It’s Britney, bitch!

Du rapport Zelnik à Hadopi, on doute de la pertinence des mesures politiques francaise de soutien à l'industrie musicale. Dans le même temps, la France s’apprête à accueillir l'événement international phare de l'industrie. Paradoxe ?

Gilles Babinet relève dix tendances pour 2011. Le cloud, la fin du MP3 en passant par l'avenir potentiellement grandiose de Facebook, il semblerait que la sortie de crise se dessine enfin.