The Weekly Best #10 > La sélection des Aaaliens /-)
Nous proposons ici un résumé des articles les plus lus et partagés sur aaaliens. Une bonne façon de terminer son week-end et/ou de commencer la semaine. Enjoy ! /-)
Nous proposons ici un résumé des articles les plus lus et partagés sur aaaliens. Une bonne façon de terminer son week-end et/ou de commencer la semaine. Enjoy ! /-)
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> Le coup de coeur de la semaine : Context is King , par Eric Scherer
Contexte, éditorialisation, intelligence, enrichissement journalistique et technologique des contenus, nouvelles valeurs ajoutées, sont aujourd’hui les dernières conditions de survie des médias traditionnels face aux ruptures qui brutalement les secouent depuis la fin du 20ème siècle.
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> Le best-of  des aaaliens :
Vertus démocratiques de l’Internet – La vie des idées
Comment caractériser les formes politiques de la révolution Internet ? Dans cet essai, Dominique Cardon met en évidence les tensions qui traversent le réseau des réseaux, notamment l’égalité radicale des internautes, la visibilité extrême des subjectivités, la production de solidarités nouvelles, la construction de la légitimité.
“Google vous connaît mieux que vous-même”
Ecrans a la bonne idée de nous proposer une interview de Viktor Mayer-Schönberger, auteur de Delete, les vertus de l’oubli à l’âge du numérique. “Si nous, nous oublions ce que nous avons pensé, dit ou fait dans notre passé mais que d’autres, comme Google, ne l’oublient pas, alors Google a un pouvoir potentiel sur nous.” “La mémoire numérique crée un panopticon temporel, dans lequel nous devons prendre en compte le fait que non seulement nous sommes observés, mais que les générations futures pourront observer ce que nous sommes en train de faire.” Et le scientifique de proposer des solutions humaines plus que techniques à ce problème majeur : “ces outils qui ont rendu l’oubli si coûteux et difficile peuvent aussi nous aider à rendre l’oubli plus aisé”.
Journaliste et animateur de communauté : deux métiers en un ?
La profession connaitrait-elle une mutation ? A terme, tous les journalistes animeront leur propre communauté sans qu’il n’y ait plus de rédaction dédiée au community management. « Ils ne travaillent plus pour un support mais pour une marque. Mon rôle, c’est de développer cette marque dans des communautés externes, via les réseaux sociaux ». Antoine Daccord ( Figaro.fr )
As Facebook Ages, Gen Y Turns to Twitter
Meredith Sires of Gen Y trend-watching site, YPulse theorizes that the rapid growth in the 18-24 demographic has to do more with the recent college graduates segment of that group finding ways to build entirely new online contact lists and create new identities more closely tied to information-sharing.
2017 : La fracture numérique repose en paix – Digital Citizen Pulse
La fracture numérique (aux Etats-Unis) sera-t-elle morte d’ici 2017 ? C’est en tout cas ce que pense le rapport – http://www.gcbpp.org/files/Academic_Papers/AP_Hassett_Shapiro_Towards.pdf – de Kevin Hasset et Robert Shapiro, professeurs à l’université de Georgetown. Mais, au vu des 300 millions de dollars à investir d’ici 20 ans, elle se réduira plus vite si l’on change les scénarios de financement de l’internet. Si les prix des abonnements n’évoluent pas, il faudra attendre 2017 pour que quasiment tous les foyers américains soient raccordés à l’internet haut débit. Mais si les utilisateurs qui utilisent le plus le réseau payaient leur abonnement plus chers que les autres (les fameux 20 % des utilisateurs qui consomment 80 % des capacités du réseau), alors l’on pourrait atteindre ces objectifs plus vite. Reste à savoir si la tarification forfaitaire de l’internet peut-être remise en cause, alors qu’elle a été la condition essentielle du développement et de la liberté des usages.
Des partis de masse aux partis de réseaux | Netpolitique
Derrière cet engouement pour les « SocNet » (social networks), se profile bien évidemment le précédent de My.BarackObama.com, la fameuse plate-forme au cœur de la campagne victorieuse d’Obama, systématiquement citée dans chaque article accompagnant le lancement d’un autre réseau partisan. La parallèle est évident mais trompeur : l’outil ne fait pas la communauté et le réseau ne fait pas le Président. Les différences entre My.BarackObama.com et les réseaux sociaux politiques français sont plus importantes que les points communs. C’est moins la technique que le contexte politique qu’il faut prendre en compte lorsque l’on s’essaie à ce type de comparaison.
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> Bonus
N’oubliez pas Djaaaliens, qui continue à partager du bon son :-)
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